Comment fonctionne la puce du processeur

Caractéristiques

La caractéristique la plus étonnante des puces de traitement est leur petite taille. Le côté d'une puce peut mesurer jusqu'à 2, 54 cm (1 pouce) de long. Toutefois, la puce elle-même peut contenir des milliers de composants. Le matériau utilisé pour fabriquer la puce est du silicium en tranches très fines. La composition physique du silicium est le matériau idéal pour construire les circuits qui composent une puce de processeur. En utilisant la lumière laser, la conception du circuit est enregistrée sur la surface du silicium. Une fois dessinées, les parties des transistors, ou le câblage, sont intégrées à la puce. L'espacement entre les transistors peut atteindre 60 nanomètres, ce qui ne représente qu'une fraction de la largeur d'un cheveu humain.

Opération

Dans le cas des ordinateurs personnels, la puce de traitement est l'unité centrale (CPU), ce qui signifie que toutes les commandes et tous les processus sont initiés par la puce. L'unité arithmétique logique (ALU), qui exécute les fonctions arithmétiques et logiques, et l'unité de contrôle (CU), qui récupère et traite les instructions à partir de la mémoire de l'ordinateur. En utilisant des lignes "bus", la puce de processeur envoie et récupère des informations vers et depuis divers composants de l'ordinateur. La logique booléenne est le langage de contrôle utilisé par la puce pour communiquer des bits d'information via le processeur. Dans sa forme la plus simple, la logique booléenne utilise un système logique à deux valeurs, "true" et "false", pour traduire les courants électriques en informations pouvant être utilisées par le système.

Technologies avancées

À mesure que la technologie évolue, la taille de la puce du processeur continue de diminuer. La compartimentation des capacités du processeur entraîne une réduction des coûts et une plus grande efficacité. Par conséquent, les explorations en nanotechnologie sont sur la bonne voie. Les recherches actuelles portent sur l’application de modèles de puces de processeur au niveau moléculaire. Une fois cet objectif atteint, les normes de rapidité et d’efficacité que nous observons aujourd’hui deviendront très médiocres en comparaison.